Voyages en train...(Partie VI)
Le paysage défilait à vive allure derrière la vitre.
Malgré la petite lumière bleutée que nous avions mise, nous pouvions voir nettement le reflet de nos personnes.
Nos regards se croisaient, et à mesure de nos échanges vifs
et pleins d’émotions, mes doigts, déposés sur son étoffe, jouaient habilement
pour la faire remonter.
A mesure de cette remontée, ses yeux devenaient plus avides, plus désireux d’une suite qu’elle devinait sans doute…
Presque arrivé à la découverte de ses Lunes, elle voulu m’aider
de sa main, mais je l’arrêtais encore en chemin, en lui lançant un regard des
plus significatif et elle compris à nouveau ce qu’elle devait faire. Et sans
mot dire, et souriant, repris la pose que je lui avais imposé.
Ma main vint se glisser contre son ventre, et je la tirais
un peu afin que sa croupe me soit plus visible.
Elle se laissa faire, plaquant sa joue contre la vitre. Le haut de sa poitrine vint se coller contre cette dernière, et le contact froid, lui fit parer, sa peau, d’une légère chaire de poule que je puis voir à ses jambes découvertes.
Je déposais sa robe sur ses hanches, m’offrant une magnifique vue imprenable sur son intime trésor.
J’accentuais celle-ci en lui faisant écarter légèrement les jambes.
Et je puis voir sa Fleur encore d’un rouge sublime des tourments précédents, couverte de Rosée…
Le bruit de la fermeture éclaire de mon pantalon, malgré le
bruit du train, la fit sourire, d’un sourire si fort, si beau…que je souriais
presque aux Anges.
Le Graal de son désire était alors bien dressé. Je le fis
glisser juste entre ses jambes et je lui fis découvrir la douce chaleur de ce puits
de désire. La chaleur qu’il dégageait eu pour effet de rendre plus fort encore,
plus dur encore ce Saint présent que je lui faisais découvrir.
Puis, sans l’honoré immédiatement, je plaquais mes flancs contre ses Lunes. Mon glaive ainsi entre ses jambes je cherchais mon équilibre, plaçant mes mains contre ses hanches.
Puis je me reculai doucement…serai les Lunes de mes dix doigts, et lentement, très lentement vint prendre possession de ce territoire si brulant.
Elle ferma les yeux, un long soupir de satisfaction sorti de sa bouche…
Je me calais par amusement sur le rythme du « tacatac »
du train, entrant et sortant de ce territoire de feux sur cette douce mélodie,
dansant au rythme de ma demoiselle et du « roulie » du train, ravis tout deux de cette ivresse…