Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le Chateau des Ombres
15 juillet 2008

Voyages en train...(Partie VI)

display_1710202

Le paysage défilait à vive allure derrière la vitre.

Malgré la petite lumière bleutée que nous avions mise, nous pouvions voir nettement le reflet de nos personnes.

 
Nos regards se croisaient, et à mesure de nos échanges vifs et pleins d’émotions, mes doigts, déposés sur son étoffe, jouaient habilement pour la faire remonter.

A mesure de cette remontée, ses yeux devenaient plus avides, plus désireux d’une suite qu’elle devinait sans doute…

 
Presque arrivé à la découverte de ses Lunes, elle voulu m’aider de sa main, mais je l’arrêtais encore en chemin, en lui lançant un regard des plus significatif et elle compris à nouveau ce qu’elle devait faire. Et sans mot dire, et souriant, repris la pose que je lui avais imposé.

 
Ma main vint se glisser contre son ventre, et je la tirais un peu afin que sa croupe me soit plus visible.

Elle se laissa faire, plaquant sa joue contre la vitre. Le haut de sa poitrine vint se coller contre cette dernière, et le contact froid, lui fit parer, sa peau, d’une légère chaire de poule que je puis voir à ses jambes découvertes.

Je déposais sa robe sur ses hanches, m’offrant une magnifique vue imprenable sur son intime trésor.

J’accentuais celle-ci en lui faisant écarter légèrement les jambes.

Et je puis voir sa Fleur encore d’un rouge sublime des tourments précédents, couverte de Rosée…

 
Le bruit de la fermeture éclaire de mon pantalon, malgré le bruit du train, la fit sourire, d’un sourire si fort, si beau…que je souriais presque aux Anges.

 
Le Graal de son désire était alors bien dressé. Je le fis glisser juste entre ses jambes et je lui fis découvrir la douce chaleur de ce puits de désire. La chaleur qu’il dégageait eu pour effet de rendre plus fort encore, plus dur encore ce Saint présent que je lui faisais découvrir.

Puis, sans l’honoré immédiatement, je plaquais mes flancs contre ses Lunes. Mon glaive ainsi entre ses jambes je cherchais mon équilibre, plaçant mes mains contre ses hanches.

Puis je me reculai doucement…serai les Lunes de mes dix doigts, et lentement, très lentement vint prendre possession de ce territoire si brulant.

Elle ferma les yeux, un long soupir de satisfaction sorti de sa bouche…

 
Je me calais par amusement sur le rythme du « tacatac » du train, entrant et sortant de ce territoire de feux sur cette douce mélodie, dansant au rythme de ma demoiselle et du « roulie » du train, ravis tout deux de cette ivresse…

Publicité
Commentaires
M
Merci de vos mots qui me touchent et me feraient presque rougir...<br /> <br /> Et s'ils vous font rêver...j'en suis encore plus touché...<br /> <br /> Mais les Votre, en votre "demeure", le sont tout au temps<br /> <br /> Tendrement à Vous
L
Vous nous gâtez Monsieur !!!<br /> Et vous racontez si bien qu'on croirait presque y être...<br /> Merci de nous faire rêver <br /> <br /> lynda
Le Chateau des Ombres
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Publicité